samedi 27 mars 2021

Jean-Paul Belmondo, ou le crépuscule du plus grand libertarien français Éric Verhaeghe 16 heures ago 6 min read 9 Jean-Paul Belmondo a 88 ans et sa santé décline. Le mythique acteur français a pourtant survécu à de nombreux problèmes de santé, dont un grave accident cardio-vasculaire. Cette résilience augmente sans cesse la stature de celui qui apparaît comme le plus grand libertarien français, élégant mais populaire, profond mais accessible, labyrinthique mais simple et évident. Ce concentré d'âme française fait figure de dernier géant dans un océan de platitude culturelle subventionnée, où la minauderie et l'affectation tiennent lieu de talent. Jean-Paul Belmondo est détesté (parce qu’il a réussi) et méprisé (parce qu’il est populaire) par tout ce que la France compte d’intermittents du spectacle récapitulant laborieusement leurs heures à la fin de chaque trimestre, vomissant le manque de solidarité envers la culture dans ce pays de Gaulois réfractaires dominé par un néo-libéralisme éhonté. Il est si agréable, si jouissif, si rassérénant de maudire tous ces Français d’extrême droite, poujadistes, intolérants, islamophobes, quand on râcle les fonds de tiroir pour trouver les 507 heures qui permettent d’être payé (grâce aux cotisations ponctionnées sur le salaire des mêmes islamophobes) pour faire de l’art approximatif et de la « culture », mot générique qui désigne d’ordinaire un gloubi-boulga prétentieux et indigeste dont l’objet est de faire du cachet bien avant d’élever l’âme… Et Bébel est probablement l’incarnation la moins honteuse, la mieux assumée, la plus scandaleuse, de cette France du petit commerçant, du gouailleur, du beauf vomi par le Canard Enchaîné pendant des années, qui adule l’indépendance d’esprit et le réflexe contrarien par lequel les esprits vraiment libres répugnent à aboyer avec la meute. Qui plus est, l’interprète de l’As des As qui combat Hitler avec l’arme du ridicule a eu le mauvais goût de commencer sa carrière avec la Nouvelle Vague,grâce à laquelle il devint une icône du cinéma d’auteur. Il est au fond l’antithèse de l’intermittent subventionné. Mais comment un acteur qui avait tout pour incarner la pédanterie des prétendus intellectuels français a-t-il pu sombrer dans des rôles populaires, voire populistes, qui l’ont déshonoré ? Cette question donne une place, à Jean-Paul Belmondo, au fond assez proche d’un Michel Sardou : si l’homme a rencontré un succès populaire profond, intense, il est méprisé par la nomenklatura de gauche, aux yeux de laquelle l’indépendance d’esprit et la solitude dans la réussite sont autant de défaites pour la culture soviétisée dont le modèle s’est imposé en France, à force « d’exception culturelle » et de subventions plus ou moins directes du ministère de la Culture. Jean-Paul Belmondo est-il le plus grand libertarien français ? Eh bien ! moi, j’aime Jean-Paul Belmondo, et je recommande à chacun de retrouver sa filmographie sur Netflix, qui donne une superbe représentation non du Belmondo des intellos de gauche pour qui la carrière de l’acteur s’est limitée à Pierrot le Fou et à Godard, mais du Bébel qui a émaillé des chefs-d’oeuvre comme le Marginal ou Flic ou Voyou. Je choisis intentionnellement ces deux exemples, parce qu’ils font merveilleusement écho à l’oeuvre de Clint Eastwood et de l’inspecteur Harry, chez nos frères américains, eux-mêmes répugnés par la prise de pouvoir, dans les années 70, qu’une caste de managers bienveillants et ronronnants, bénéficiaire de Mai 68, a orchestré à son plus grand profit. Pour de nombreux Français, Belmondo a incarné ce feu sacré du combat singulier qui se complaît dans le collectivisme de la défaite. On pense ici tout particulièrement au Marginal, dialogué par Michel Audiard en 1983, où un flic hors norme poursuit son objectif de justice malgré la bureaucratie corrompue qui s’accommode très bien d’un statu quo dysfonctionnel. Le jeu aérien de Belmondo dans ce film confine au génie. Il nous rappelle qu’à une époque, le cinéma français ne se complaisait dans une longue geignardise immuno-déprimée. Il en voulait, il portait une vision, une envie, un désir de vivre, qui manque cruellement à nos oeuvres depuis que les subventions ont remplacé le chiffre d’affaires produit par les entrées. Et c’est ce libertarisme que nous aimons dans Belmondo : ce combat de l’individu porteur d’un feu sacré contre la conspiration des médiocres qui tire profit d’un système dont les petites gens sont les victimes finales. Les Français sont des libertariens en puissance Il fut donc un temps où, pour être une vedette du cinéma français, il fallait en imposer. Des cascades, des répliques gouailleuses, de la présence, de l’individualisme au fond : telles étaient les recettes de la réussite populaire. Eh oui ! les Français ont aimé cela, à une époque lointaine où le débat public n’était pas saturé par la disparition de la planète, par le Vivre Ensemble et par la tyrannie des minorités. Être un acteur signifiait prendre des risques pendant le tournage, et incarner des rôles où l’on ne se cachait ni derrière son petit doigt, ni derrière des répliques pleurnichardes et pleines de bons sentiments, ni derrière un éloge de toutes les opinions à la mode. Et ce courage-là, on l’aime.

 Jean-Paul Belmondo  ( Neuilly-sur-Seine , departamento de  Hauts-de-Seine 9 de abril  de  1933 ) es un  actor francés  de  cine  y  teatro  de origen  italiano . Su participación en película  Breathless  (1960) de  Jean-Luc Godard , lo convirtió en una de las grandes figuras del movimiento cultural francés conocido como la  Nouvelle Vague . Ganador del  Premio César  1989 al mejor actor por el film  El imperio del león (1988), premio que rechazó. Condecorado en 2007 con el  Legión de Honor  en el grado de Comandante.-

Hijo del escultor parisino Paul Belmondo (1898-1982), tiene dos hermanos, Alain Belmondo, productor de cine y Muriel Belmondo, bailarina profesional. Estudió arte dramático en el Conservatoire National Superieur d'Art Dramatique (CNSAD) . Después de algunas participaciones en obras de teatro debutó en el cine en la película A pie, a caballo y en carruaje (1957), pero casi todas sus escenas fueron eliminadas durante el montaje. Sin embargo, en 1959, el director Jean-Luc Godard, el dio el rol principal en su película Breathless (1960), that llegó a ser un clásico del cine francés, lanzándolo a la fama.         

Aficionado al fútbol y al boxeo en su juventud, logró un físico atlético y una nariz quebrada, that the darían ventajas in su carrera cinematográfica. Explotó inteligentemente su aspecto, y el mote del hombre más feo del cine francés , pero a la vez muy seductor. Hizo gran amistad con Alain Delon , y siguió su ejemplo al fundar su propia empresa productora.  

Pronto orientó su carrera como actor en películas de acción y humor, donde realizaba personalmente las escenas de riesgo. Con The Man of Rio (1965) su carrera está orientada hacia un cine más comercial, principalmente comedias y películas de acción.  

En las películas Pierrot le fou , Jean-Luc Godard hace que Belmondo, la “Historia del arte” de Élie Faure , mientras toma un baño.  Jean-Paul Belmondo es miembro de la Academy of Sports .- 

Jean-Paul Belmondo, o el ocaso del mayor libertario francés.

Jean-Paul Belmondo est détesté (parce qu’il a réussi) et méprisé (parce qu’il est populaire) par tout ce que la France compte d’intermittents du spectacle récapitulant laborieusement leurs heures à la fin de chaque trimestre, vomissant le manque de solidarité envers la culture dans ce pays de Gaulois réfractaires dominé par un néo-libéralisme éhonté. Il est si agréable, si jouissif, si rassérénant de maudire tous ces Français d’extrême droite, poujadistes, intolérants, islamophobes, quand on râcle les fonds de tiroir pour trouver les 507 heures qui permettent d’être payé (grâce aux cotisations ponctionnées sur le salaire des mêmes islamophobes) pour faire de l’art approximatif et de la « culture », mot générique qui désigne d’ordinaire un gloubi-boulga prétentieux et indigeste dont l’objet est de faire du cachet bien avant d’élever l’âme… 

Et Bébel est probablement l’incarnation la moins honteuse, la mieux assumée, la plus scandaleuse, de cette France du petit commerçant, du gouailleur, du beauf vomi par le Canard Enchaîné pendant des années, qui adule l’indépendance d’esprit et le réflexe contrarien par lequel les esprits vraiment libres répugnent à aboyer avec la meute. Qui plus est, l’interprète de l’As des As qui combat Hitler avec l’arme du ridicule a eu le mauvais goût de commencer sa carrière avec la Nouvelle Vague,grâce à laquelle il devint une icône du cinéma d’auteur. Il est au fond l’antithèse de l’intermittent subventionné. 

Mais comment un acteur qui avait tout pour incarner la pédanterie des prétendus intellectuels français a-t-il pu sombrer dans des rôles populaires, voire populistes, qui l’ont déshonoré ? Cette question donne une place, à Jean-Paul Belmondo, au fond assez proche d’un Michel Sardou : si l’homme a rencontré un succès populaire profond, intense, il est méprisé par la nomenklatura de gauche, aux yeux de laquelle l’indépendance d’esprit et la solitude dans la réussite sont autant de défaites pour la culture soviétisée dont le modèle s’est imposé en France, à force « d’exception culturelle » et de subventions plus ou moins directes du ministère de la Culture. 

Jean-Paul Belmondo est-il le plus grand libertarien français ?

Eh bien ! moi, j’aime Jean-Paul Belmondo, et je recommande à chacun de retrouver sa filmographie sur Netflix, qui donne une superbe représentation non du Belmondo des intellos de gauche pour qui la carrière de l’acteur s’est limitée à Pierrot le Fou et à Godard, mais du Bébel qui a émaillé des chefs-d’oeuvre comme le Marginal ou Flic ou Voyou. Je choisis intentionnellement ces deux exemples, parce qu’ils font merveilleusement écho à l’oeuvre de Clint Eastwood et de l’inspecteur Harry, chez nos frères américains, eux-mêmes répugnés par la prise de pouvoir, dans les années 70, qu’une caste de managers bienveillants et ronronnants, bénéficiaire de Mai 68, a orchestré à son plus grand profit. 

Pour de nombreux Français, Belmondo a incarné ce feu sacré du combat singulier qui se complaît dans le collectivisme de la défaite. On pense ici tout particulièrement au Marginal, dialogué par Michel Audiard en 1983, où un flic hors norme poursuit son objectif de justice malgré la bureaucratie corrompue qui s’accommode très bien d’un statu quo dysfonctionnel. 

Le jeu aérien de Belmondo dans ce film confine au génie. Il nous rappelle qu’à une époque, le cinéma français ne se complaisait dans une longue geignardise immuno-déprimée. Il en voulait, il portait une vision, une envie, un désir de vivre, qui manque cruellement à nos oeuvres depuis que les subventions ont remplacé le chiffre d’affaires produit par les entrées. 

Et c’est ce libertarisme que nous aimons dans Belmondo : ce combat de l’individu porteur d’un feu sacré contre la conspiration des médiocres qui tire profit d’un système dont les petites gens sont les victimes finales. 

Les Français sont des libertariens en puissance

Il fut donc un temps où, pour être une vedette du cinéma français, il fallait en imposer. Des cascades, des répliques gouailleuses, de la présence, de l’individualisme au fond : telles étaient les recettes de la réussite populaire. 

¡Oh sí! In los franceses les gustó, en una época lejana en la que el debate public no estaba saturado por la desaparición del planeta, por la convivialencia y por la tiranía de las minorías. Ser actor significaba correr riesgos durante el rodaje y asumir roles en los que no te escondías detrás del dedo meñique, o detrás de lloriqueos y líneas sentimentales, o detrás de los elogios de todas las opiniones populares. 

Y ese coraje, nos encanta. !!!!! 






vendredi 26 mars 2021

José Luis de Arrese Magra (Bilbao, 15 de abril de 1905-Corella, 6 de abril de 1986) fue un arquitecto y político español, militante de FET y de las JONS,.-

 

José Luis Arrese : el día 6 de abril de 1986-

yo cumplí ese mismo día 42 años y era jefe nacional de ORGANIZACION DE FE DE LAS JONS.-PRESENTE-

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José Luis Arrese
Arrese-1-E-6350-1.jpg

Gobernador civil de Málaga
 7 de dic. de 1939-19 de mayo de 1941 

Ministro-secretario general de
FET y de las JONS
 19 de mayo de 1941-20 de julio de 1945 

 15 de febrero de 1956-25 de feb. de 1957 

Ministro de la Vivienda
25 de febrero de 1957-17 de marzo de 1960 

Procurador en Cortes
1943-1977

Información personal
Nacimiento15 de abril de 1905
Bilbao
Fallecimiento6 de abril de 1986
Corella
NacionalidadEspañola
Partido político
Familia
CónyugeMaría Teresa Sáenz de Heredia
Información profesional
OcupaciónArquitecto
Miembro deReal Academia de Bellas Artes de San Fernando (1967-1986) Ver y modificar los datos en Wikidata

José Luis de Arrese Magra (Bilbao, 15 de abril de 1905-Corella, 6 de abril de 1986) fue un arquitecto y político español, militante de FET y de las JONS, y uno de los principales teóricos del régimen franquista en sus primeros años.

Adscrito inicialmente a la facción falangista hedillista y contrario al Decreto de Unificación, permaneció encarcelado un tiempo hasta ser liberado. Tras el final de la Guerra civil, en diciembre de 1939, fue nombrado gobernador civil de la provincia de Málaga, constituyendo el primero de una serie de cargos que ocupó a lo largo de la dictadura. En la primavera de 1941 sería nombrado ministro-secretario general de FET y de las JONS, llevando a cabo una importante depuración dentro del partido único, que a partir de aquel momento se volvió mucho más dócil ante el poder de Franco. Posteriormente fue puesto al frente del Ministerio de la Vivienda, siendo el primer titular de este departamento gubernamental. Además de sus puestos políticos, fue académico de número de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando o académico de honor de la de San Telmo de Málaga.Nació en Bilbao el 14 de abril de 1905,​ en el seno de una conocida familia de origen carlista y ultracatólico.​ Realizó estudios universitarios en Madrid, licenciándose en arquitectura. En su época de estudiante fue vicepresidente de la Federación Nacional de Estudiantes Católicos y presidente de la Asociación de Arquitectura.-

Tras finalizar sus estudios, pasó a ser arquitecto de profesión.​ Contrajo matrimonio con María Teresa Sáenz de Heredia, prima hermana de José Antonio Primo de Rivera.​-​ Primo de Rivera había fundado en 1933 la Falange Española, un partido de extrema derecha de pequeño tamaño pero muy activo y violento. Aunque posteriormente Arrese afirmaría ser un «camisa vieja» —esto es, un falangista anterior a la contienda—,​ lo cierto es que se afilió a Falange en febrero de 1936, poco antes de que comenzase la guerra.​ Desde su juventud fue una persona de profundas convicciones católicas.-

Cuando en julio de 1936 estalló la Guerra civil, Arrese se encontraba en Madrid, aunque logró refugiarse en la embajada de Noruega y, posteriormente, trasladarse hasta la zona sublevada.-​ En la primavera de 1937 estuvo implicado en los llamados «sucesos de Salamanca», mostrándose partidario de la facción de Falange liderada por Manuel Hedilla y contrario al Decreto de Unificación.-​ Tras el fracaso de los hedillistas, fue detenido por las autoridades y encarcelado. Aunque estuvo a punto de ser fusilado, Arrese evitó la pena de muerte —que le fue conmutada con la pena de prisión— a raíz de la intervención de Ramón Serrano Suñer, cuñado del «generalísimo» Franco.-​ Algunos autores señalan que habría sido su esposa María Teresa la que intercedió ante Serrano Suñer.​ Tras pasar un tiempo en prisión se retractó de su anterior rebeldía y se volvió mucho más dócil ante el nuevo régimen,​ lo que le valió para ser nombrado gobernador civil de Málaga a finales de 1939.-

Gobernador civil :

Durante la inauguración del albergue de Antequera (1940)

A mediados de diciembre de 1939 fue nombrado gobernador civil de la provincia de Málaga.12​ A su llegada, encontró una provincia empobrecida y gravemente afectada por la falta de alimentos. En poco tiempo reprimió el mercado negro y aquella misma Navidad organizó donaciones de juguetes y regalos para los niños de la capital malagueña.2​ Para enero de 1940 había logrado solucionar los problemas relacionados con la carestía de alimentos, haciendo traer del Marruecos español dos cargueros que portaban varios miles de toneladas en alimentos.​ En el ámbito urbanístico, movió la línea de playa hacia el interior y ganó terreno al mar, algo que sería importante de cara al turismo.​ Arrese llegó a trazar durante ese año un nuevo plan urbanístico para Málaga que finalmente no llegó a llevarse a cabo.-

Al frente del partido único :

Tras la llamada «crisis de mayo de 1941», José Luis Arrese se convirtió en ministro-secretario general de FET y de las JONS.1617​ El cargo se encontraba vacante desde marzo de 1940, tras la dimisión de Agustín Muñoz Grandes,14​ circunstancia que había aprovechado el jefe de la Junta política, Serrano Suñer. Inicialmente, Franco llamó a Arrese a Madrid bajo la sospecha de que estaba conspirando en su contra,18​ aunque finalmente este logró convencerle de que no estaba implicado en ninguna trama en su contra. Franco quedó tan satisfecho por las explicaciones de Arrese que no solo no le destituyó, sino que además le nombró para dirigir la Falange. Algunos autores han señalado que la propuesta de que Arrese ocupase la jefatura del partido único habría venido de la jefa de la Sección Femenina (SF), Pilar Primo de Rivera.-

En un primer momento Serrano Suñer no consideró que el nuevo secretario general constituyese una amenaza para sus amplios poderes y pensó que podría seguir controlando el partido como ya había hecho mientras Fernández-Cuesta y Muñoz Grandes fueron secretarios generales del mismo.​ Sin embargo, Arrese emprendió a partir de noviembre de 1941 una purga dentro del partido, con el objetivo de expulsar a los elementos más «incontrolados» o «izquierdistas» que se habían afiliado a la Falange durante la contienda: en los siguientes cuatro años fueron expulsados alrededor de 4000 militantes.-​ La represión se extendió a otros órganos, como los sindicatos verticales: el delegado nacional de Sindicatos, Gerardo Salvador Merino, y sus revoltosos partidarios también fueron purgados.​ Esta depuración le permitió asegurar su dominio sobre el partido. También quedaron bajo el control de Arrese la propaganda y la prensa del régimen —anteriormente dependientes del Ministerio de la Gobernación—,​ que pasaron a estar bajo jurisdicción de la Vicesecretaría de Educación Popular.​ Bajo control de este organismo quedaron igualmente la censura y la cinematografía.-

Arrese (derecha) junto a Franco y otras autoridades en 1942.

La lucha por controlar la Falange suponía en realidad enfrentarse a Serrano Suñer, que aunque había perdido poder dentro del partido, seguía siendo una importante figura. Según Stanley G. Payne, Arrese habría tenido un gran papel en la caída de Felipe Ximénez de Sandoval —jefe del Servicio Exterior de Falange y mano derecha de Serrano Suñer en el Ministerio de Exteriores— durante la primavera de 1942.-​ La versión tradicional sostiene que estuvo detrás de la elaboración de una falsa acusación de homosexualidad contra Ximénez de Sandoval que habría provocado su expulsión del cuerpo diplomático y del partido único.-

La rivalidad entre ambos políticos se vio acompañada durante aquel año por múltiples enfrentamientos entre falangistas y otros grupos de la dictadura —carlistas y monárquicos—.​ La caída de Serrano Suñer en otoño de 1942 supuso la victoria definitiva de Arrese en la lucha por el control de FET y de las JONS​ que, a partir de entonces, no encontró oposición ni tuvo rivales dentro del partido. Sin embargo, tanto él —

— como otros líderes falangistas se habían dado cuenta que su futuro político estaba ligado al del propio dictador. En adelante, no cuestionaron el poder del «generalísimo» y por el contrario centraron sus energías en asegurar tanto sus poderes como sus dominios políticos, especialmente frente a sus rivales monárquicos y militares.​ Así pues, la Falange quedó completamente sumisa a Franco.​

Arrese durante un encuentro con Adolf Hitler el 22 de enero de 1943.

En el contexto de la Segunda Guerra Mundial, Arrese también destacó como uno de los principales partidarios de la Alemania nazi. Mantuvo contacto regular con Hans Thomsen​ —el jefe del Partido nazi en España— y con Erich Gardemann —el consejero de la embajada alemana en Madrid—, convenciéndoles de que la caída de Serrano Suñer supondría implícitamente una mayor cooperación entre la España franquista y la Alemania nazi.- Para finales de 1942 ya formaba parte del grupo de políticos y militares que presionaba a Franco para que España entrase en la guerra del lado de Hitler.-​ Cuando en noviembre de ese año se produjo el desembarco aliado en el norte de África, Arrese fue uno de los ministros —junto a José Antonio Girón de Velasco y Carlos Asensio— que manifestaron que aquel era el momento para que España entrase en guerra.-​ Esto provocó un fuerte debate en el seno del gobierno franquista​ y, a pesar de las fuertes disensiones internas que se produjeron, finalmente no se produjo ninguna entrada en guerra.

En enero de 1943 realizó una visita​ a Alemania y llegó a entrevistarse con el propio Hitler.-​ El viaje provocó las encendidas protestas de Gómez-Jordana, ya que ni siquiera se le había comunicado previamente que iba a realizarse tal viaje; en parte por las protestas y para evitar un empeoramiento de las relaciones con las potencias aliadas, Franco ordenó a Arrese que restringiera sus comentarios relativos a la Alemania nazi o sobre el desarrollo de la contienda a favor del Eje. Tras su regreso de Alemania, que coincidió con la derrota alemana en Stalingrado, se volvió más cauteloso en su apoyo al nazismo.-

Esta cautela se vio incrementada tras la caída de Mussolini y el colapso de la Italia fascista en julio de 1943. Unos meses después, en septiembre, Arrese dio un discurso en el que declaró que «España no era una nación totalitaria».​ Hubo miembros de Falange, como Pilar Primo de Rivera, a los que disgustó profundamente esta declaración.​ Símbolo de este cambio de tendencias fue la disolución de la Milicia nacional de FET y de las JONS, el 27 de julio de 1944, por orden del propio José Luis Arrese.-

En el verano de 1945, con la derrota de la Alemania nazi, Franco realizó numerosos cambios en la administración y el gobierno: muchos falangistas germanófilos perdieron sus puestos y desaparecieron de la escena política. Este fue el caso de Arrese, que fue cesado en la jefatura del partido único y salió del Gobierno.-​ Tras su destitución, Franco no nombró sucesor y el cargo de secretario general quedó vacante.​ Pasó varios años en el ostracismo político,​ sin ocupar ningún cargo de importancia.

Regreso al Gobierno :

Arrese volvería a ocupar la jefatura del Movimiento tras la llamada «crisis de febrero de 1956», cuando Franco cesó fulminantemente a Raimundo Fernández-Cuesta.-​

Con su vuelta al gobierno, vio una oportunidad —tal vez la última— para llevar adelante el viejo proyecto de institucionalizar el franquismo a partir de reforzar los poderes del «partido único» falangista, y reducir la orientación monárquico-católica que había predominado desde 1945. Nada más llegar a la Secretaría general del partido único, empezó a elaborar un proyecto por el cual el papel de Falange y su jefatura política se reforzarían considerablemente en el seno del propio régimen franquista.​ Arrese buscaba construir un auténtico Estado nacional-sindicalista que, tal como había dicho en una concentración falangista celebrada en marzo de 1956 en Valladolid, colmara la insatisfacción de los falangistas «porque muchas de nuestras aspiraciones revolucionarias están pendientes de realizar y porque la sociedad que nos circunda tiene mucho de injusta y mucho de sucia».​ Sin embargo, este proyecto pronto se tropezó con la oposición de importantes sectores de la dictadura —Ejército, Iglesia, sectores monárquicos, etc.— y el intento no tardaría mucho tiempo en acabar fracasando.​ Ante tal cúmulo de protestas, y ante la prioridad que comenzó a dar a los problemas económicos, el Generalísmo decidió en febrero de 1957 archivar sine die el proyecto de Arrese. Del mismo solo vería la luz en 1958 el proyecto de Ley de Principios del Movimiento Nacional, totalmente remodelado por Luis Carrero Blanco.49​ El fracaso de Arrese supuso su fin como secretario general, ya que fue cesado el 25 de febrero de 1957 y sustituido por José Solís.

A pesar de su cese, Arrese siguió en el Gobierno ya que Franco lo puso al frente del nuevo Ministerio de la Vivienda.-

El nuevo departamento ministerial asumió algunas de las funciones desarrolladas anteriormente por el Instituto Nacional de la Vivienda (INV), la Dirección General de Regiones Devastadas o la Comisaría de Ordenación Urbana de Madrid.51​ Arrese dio un giro completo en la política de vivienda desarrollada hasta entonces —principalmente por los sindicatos verticales, a través de la Obra Sindical del Hogar (OSH)— y defendió implantar una política de propiedad de la vivienda, frente a la anterior política de alquileres que se había practicado hasta entonces.52​ En definitiva, impulsó el abandono de la política de viviendas de bajo precio construidas por el Estado, para dejar que en su lugar esta función fuese asumida por el sector privado.53​ Poco después de su nombramiento, en agosto de 1957 anunció públicamente que se aprobaría un Plan de Urgencia Social para hacer frente al grave problema del chabolismo que para entonces afectaba a los suburbios de Madrid.54​ El plan se aprobó a finales de año y en poco tiempo logró cosechar un importante éxito, por lo que se planteó su expansión a otras zonas de España como Barcelona o Bilbao.55​ El 17 de marzo de 1960 cesó en su puesto como ministro.56

Últimos años

Fachada de la Casa Arrese de Corella (hacia 2008).yo estuve en su casa en 1984.Mequiso regalar su capote de Ministro !!!

Tras su salida del gobierno no volvió a ejercer ningún puesto relevante en la administración o el gobierno. No obstante, siguió siendo procurador en Cortes, así como miembro del Consejo Nacional del Movimiento y del Consejo del Reino.-

En 1967 fue propuesto como miembro de número de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando, en la Sección de Arquitectura, leyendo su discurso de recepción en noviembre de dicho año.​ Creó en 1973 la Fundación Arrese junto con su esposa​ Fue uno de los procuradores ausentes en la votación en noviembre de 1976 de la Ley para la Reforma Política,​ cuya aprobación supuso el llamado «harakiri de las Cortes franquistas». Arrese, que también residió en las Islas Canarias largas temporadas por consejo médico,​ falleció en su casa de la localidad navarra de Corella —de donde era natural su mujer— el 6 de abril de 1986.-

Figura política y pensamiento :

De inclinaciones nacionalcatólicas, estas ya se adivinaban en su obra La revolución social del Nacionalsindicalismo, publicada en 1940 pero escrita en 1936​ y en la cual reproduciría la línea antisemita de diversos falangistas inmediatamente después de la guerra civil, recordando «la brillante lucha de la Falange contra el judaísmo capitalista .- 

ALBERTO DE TORRESANO.-